Exploration en cours - Larramendy Rochette Chassagny Généalogie

An Zéro La Source
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Tribunal révolutionnaire de Montagne Bon Air
Gilles Elkaim
2016.

Côté Arctique, je piste la progression d’une navigatrice qui tente le Passage du Nord-Ouest, lequel n’est pas toujours ouvert en été à cause des conditions météo, qui peuvent être très différentes d’une année sur l’autre. Elle œuvre pour la cause d’enfants handicapés. Son épopée est relayée par plusieurs radios et chaînes privées de télé.

Les conditions météo sont désastreuses : tempêtes et cyclones à l’horizon.   

Pour une autre direction, un autre bateau est sur le départ.

Gilles, physicien et explorateur de renom, tente le pôle Nord géographique, sur son bateau métallique, ARKTIKA.
Je me plais à suivre ces expéditions et retransmettre leurs informations sur de multiples passerelles. C’est ma façon de retrouver la région que j’ai précédemment adoré explorer.

Les conditions de navigation dans les glaces des mers canadiennes sont très mauvaises, les rapports récupérés journellement font état de très épaisses couches de glace ne laissant passer aucun navire.

La navigatrice change de cap pour trouver les eaux chaudes des Antilles. Je reporte mon attention sur Gilles, qui se dirige vers les eaux anglaises.

Une violente tempête endommage son navire, les rambardes du pont en acier sont tordues.

Il monte vers le Svalbard, un archipel norvégien de l’Arctique, essuie encore un gros grain. Son moteur de bord est fichu, il n’a d’autre choix que de s’abriter dans le fjord d’une zone protégée.

Je relaye les informations que je reçois via un blog dans L’indépendant, journal boosté par les moteurs puissants de Google.

Plusieurs photographies y sont publiées, dont celle d’un ours blanc, décédé à cause de l’absorption de matière plastique.
Sa gueule en est remplie, tout comme la plage où il semble endormi. Je partage l’info et la photo, qui vont faire des ravages sur les réseaux.  
Plusieurs jours passent avant qu’un navire de guerre repère le bateau, le conduise à Longyearbyen puis fasse débarquer ses occupants : l’explorateur, son épouse, et aussi ses chiens de traîneau. Ensuite, l’histoire se complique.

Gilles ne dispose pas des autorisations nécessaires pour débarquer à terre et la double tempête l’empêche de partir pour une autre destination. L’entêtement des deux parties faisant monter la mise, la prime de libération pour lui, sa femme, son bateau et ses chiens.

En attendant le procès du physicien, il m’est proposé de venir sur place afin de constater in situ l’absence de résidus de plastique.

CJ ROCHETTE - CREAPROMEDIA
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