Henry Grégoire De Vigny De La Houssaye - An Zéro La Source

An Zéro La Source
Aller au contenu
Tribunal révolutionnaire de Montagne Bon Air
De Vigny De La Houssaye
1989
L’informatique est un excellent point de connexion, la plupart de mes amis sont arrivés au début pour cela, problèmes de branchements, de compréhensions, qui ont débouchés sur une relation amitié-passion.

Henry Grégoire de VIGNY De La HOUSSAYE, rencontré lors d’un déjeuner au restaurant Le Mazzini, se fâche avec l’incompatibilité entre son ordinateur AMSTRAD PC1640, qui refuse de reconnaitre l’imprimante laser IBM.

Rejette aussi sa carte d’extension Winchester, disque dur 20Mo de stockage de données

Nous fonctionnons sur des systèmes équipés de micro-processeur 8086, le Z80 de SINCLAIR, une marque importée en 1980 par l’entreprise de Marion VANNIER

Le système d’exploitation graphique GEM, fonctionne bien sur AMSTRAD, à condition de ne pas interfacer un autre élément, qui n’est pas reconnu par le constructeur.

Puis MSDOS arrive, en concurrence avec DRDOS, aux commandes identiques, qui sont aléatoirement reconnu par chacun les autres concepteurs.

La configuration maximale pour PC compatible individuel, 20Mo de stockage permanent de données, sur disque dur interne, un ou deux lecteurs de disque souple, de 512 Ko ou 720 Ko.
Une mémoire RAM de 256 Ko à 512Ko, écran VGA, souris et clavier à fil, le must de la bureautique

Il était autrefois, expert comptable de la filiale française AEG TELEFUNKEN, il a refusé de poser sa signature au bas de document, pour valider les erreurs de gestion de son patron.

Ce qui lui a valut son éviction, sans charge ni paye mais avec un maximum de friction, de menace et d’imperfection

Je lui fais part de ma propre histoire, une autre vision à l’époque de la situation

1992
Henry passe me voir à la boutique, me propose de venir dîner ce soir, il me présentera son ami, Ivan  TCHALAKOV chirurgien cardiaque, qui vient en France accompagné de son président, pour l’opérer à cœur ouvert à la Salpêtrière.

Surtout je ne dois pas m’inquiéter, si je croise en bas de chez lui deux agents de sécurité étrangère, parapluies bulgares qui sont là pour surveiller le chirurgien, ses amis et entourage.

Sans oublier la sécurité intérieure française, dite DGSI, qui surveille les agents secrets bulgares, ainsi que tous ceux déjà sur écoute et surveillés par autrui.

« Rien ne peut arriver, nous serons sous très haute protection »

Rien de grave me dit-il, cela fait plusieurs années qu’Ivan se déplace à Paris, Henry est habitué à ces petits désagréments, moins sa concierge qui le prend pour un agent des services secrets

CJ ROCHETTE - CREAPROMEDIA
Retourner au contenu